Nevaeh-Fay Rutherford
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 |  Sujet: NEVAEH-FAY ∆ Rather than making it a disease, I make a melody Ven 20 Avr - 13:16 | |
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Life is just one of those things that you take as it comes. It might be good to you one day, bad the other, but you love it, cherish it. NOM › Rutherford. PRÉNOM(S) › Nevaeh-Fay. SURNOMS › Nev'. ÂGE › 24 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE › Sydney, le 12 avril 1988. ORIGINES › Australiennes. MÉTIER/ETUDES › Guide touristique. SITUATION FINANCIÈRE › Aisée. STATUT CIVIL › Célibataire. GROUPE › The workers. AVATAR › Ashley Greene. I want you to remember me entrainante, excessive, drôle, impulsive, indépendante, rancunière, passionnée, impatiente, sociable, manipulatrice, déterminée, lunatique.
Son Iphone est grephé dans sa main droite ✜ collectionne les vernis à ongle ✜ aime danser sous la pluie ✜ C'est une grande fana de Disney ✜ Elle ne peut pas commencer une journée sans passer chez Starbucks ✜ Depuis son adolescence, elle voue un culte à la Californie. Elle y est d'ailleurs partie en voyage à la fin de ces études ✜ Son sport préféré est par dessus tout le surf mais elle n'en a pas fait depuis la Californie. Elle a remplacé le surf mais la course à pied ✜ mettre ici les tics, les manies, les habitudes de votre personnage ✜ Amoureuse de Sydney, elle prend beaucoup de plaisir à faire visiter la ville aux touristes ✜ Il lui arrive parfois de dire bonjour à sa voiture le matin ✜ La belle ne pourrait imaginer sa vie sans la musique, son Ipod ne la quitte jamais ✜ Go on and try to tear me down « J’ai envie de vomir !!! C’est pas beau !!! J’ai envie d’aller aux toilettes !!! On rentre quand ? »
Retenez-moi, ou je vais le tuer ce gamin…ou mieux le jeter par-dessus bord ! Et dire qu’on vient à peine de larguez les amarres. En parlant de largage, celui qui doit bien être largué, c’est toi ! Je me présente Nevaeh-fay mais tout le monde m’appelle Nev’ ou Fay ça dépend. Je suis guide touristique dans la si belle ville de Sydney et je suis en train de montrer la beauté de notre ville Australienne à un groupe de touristes. Dans chaque groupe de touristes, on retrouve toujours les mêmes personnalités. Il y a les retraités souriants s’intéressant à tout même en vous appelant petite, il y a les bourgeois qui se croient bien plus intelligents que vous et prennent un malin plaisir à vous contredire sortant parfois de belles idioties, les ados renfrognés qui suivent leurs parents de force, vous faisant bien comprendre qu’ils n’ont aucune envie d’être là et puis bien sûr, les enfants ayant une attention limitée à cinq secondes top chrono ! Mais n’allez pas croire, j’aime mon métier plus que tout ! J’aime faire découvrir les merveilles de notre pays aux gens, les petits détails magiques, les endroits que seuls les habitués connaissent … Nous arrivons à l’instant dans une petite crique abritée qu’ils vont pouvoir explorer et en attendant, je vais vous raconter mon histoire.
Je suis née à Sydney il y a tous justes vingt-quatre ans. Ma mère m’a raconté une fois que pendant des mois ils avaient cherché pleins d’idées de prénom mais tout à changer le jour de ma naissance. Ma grand-mère s’est approché de mon berceau et a dit « c’est un cadeau du ciel » En effet, mes parents ont essayé pendant plusieurs années d’avoir un enfant en vain jusqu’à que je pointe le bout de mon nez. Les paroles de ma grand-mère ont tournées quelques heures dans la tête de ma mère jusqu’à qu’elle décide de changer mon prénom pour Nevaeh…vous ne voyez pas le rapport ? Essayez de mettre les lettres à l’inverse. Eh oui, cela fait Heaven ou autrement dit ! J’aime beaucoup cette histoire et son côté unique.
Il n’y a pas grand-chose à raconter sur mon enfance et mon adolescence. J’ai grandi entourée et protégée par ma famille, peut être parfois un peu trop. C’est cela aussi quand on est enfant unique, les parents vous surprotègent et vous gâtent trop…Il n’y a pas à s’en plaindre évidemment mais la chute peut être un peu brutale quand on découvre le vrai visage du monde dans lequel on vit. Celui-ci ne vous épargne jamais…Mais j’ai la chance d’être quelqu’un de plutôt sociable, avide de rencontres. C’est grâce à cette qualité que j’ai rencontré ma bande au lycée. Ils étaient les frères et sœurs que je n’avais jamais eus ! Il y a avait Kaylie, Keegan, Eileen, Jackson, Leo et moi ! On était ni les plus populaires, ni les loosers du lycée, on faisait notre vie en imaginant qu’on était les rois du monde ! Quand on était tous ensembles rien ne pouvait nous arriver.
Les premières fêtes, les premières conneries, les aprem’ surf, … tout reste intact dans ma tête et je repense d’ailleurs à cette époque avec beaucoup de nostalgie. On était insouciants, on profitait de la vie sans penser à l’avenir et a ce qu’on pourrait devenir ! Je me rappelle d’une journée en particulier. C’était pendant les vacances, on avait décidé de partir à l’aventure et de prendre le bus dès l’aube pour rejoindre le royal park national. Ce n’était pas une mince affaire puisque les gars avaient embarqué leurs planches de surf or on a dû traverser un bout de forêt avec toutes nos affaires et sans savoir vraiment ou on allait avant de trouver une superbe plage isolée avec de superbes vagues ! Ce fut probablement une des plus belles journées de ma vie ! Entre fous rires, surf, amitié, bronzage, jeux, … Une journée à l’image de notre amitié ! On s’éclatait tellement qu’aucun de nous n’a fait attention au jour qui déclinait…Le temps qu’on se rende compte de l’heure qu’il était le soleil commençait déjà à se coucher ! Toujours avec notre éternelle bonne humeur quoiqu’un peu trempée d’inquiétude pour rentrer, nous ramassèrent nos affaires et nous attaquèrent à la traversée inverse de la forêt. Seulement quand il fait nuit, c’est beaucoup moins évident ! Entre Keegan et Jackson qui s’amusaient à faire peur aux filles et Kaylie qui se plaignait sans cesse, ce fut une sacré marche ! Pour ma part, je sursautais au moindre bruit, je ne suis pas ce qu’on peut appeler fana de la forêt et encore moins la nuit ! Néanmoins, on réussit à retrouver la route mais à cette heure la plus aucun bus de faisait la route. On entreprit donc de faire un bout de chemin à pied, malgré la fatigue on a beaucoup rit jusqu’à ce qu’un groupe de surfeurs avec un van qui venait de nous croiser accepta de nous ramener sur Sydney.
Mais les choses changent, les gens changent. Le soir du bal de promo, on s’est promis que rien ne nous séparerait ni la distance, ni le temps ne briserait notre amitié. Elle était bien trop forte, je nous voyais encore dans dix ans rigoler et surfer sur les plus belles plages Australiennes. C’est sur ces belles promesses que chacun a pris sa route. La route des études supérieures ! Pour moi ce fut des études de tourisme que je fis dans le pays. J’aimais réellement mon pays, sa culture, ces secrets, son paysage et je voulais le faire partager, en apprendre plus. Au cours de la première année, beaucoup de choses changèrent. Tout d’abord, je compris qu’on avait tort. Chacun de mes amis poursuivait son chemin, notre fameuse bande restait uniquement présente dans nos cœurs. Je pris également beaucoup en indépendance cette année-là, je sais pertinemment que cela fit du mal à mes parents mais j’avais besoin de voler de mes propres ailes et d’aller découvrir le monde. Ce que je fis une fois ma dernière année achevée. Au cours de mes études, je m’étais fascinée soudainement pour la Californie ! Surement une part de rêve Américain ! Je pris donc la décision de partir seule avec pour toute compagnie mon sac afin d’explorer la région et pourquoi pas m’y installer ! « Vous êtes arrivés à Los Angeles, nous vous souhaitons un agréable séjour, Merci d’avoir choisi notre compagnie » Sa y-est me voilà à Los Angeles ! Ce voyage était pour moi également une sorte de défis, je voulais me prouver que j’étais capable de partir à l’aventure dans un pays totalement étranger ! Et puis c’était le moment ou jamais ! Je n’avais ni travail, ni mari, ni enfants… En posant mes pieds sur le sol Californien, j’avais la sensation que cette expédition changerait ma vie, si seulement je savais ! Je passais la première semaine à écumer les lieux touristiques de la ville à savoir Hollywood Boulevard, Beverly Hills, les studios de cinéma entre autre. Mais ce que je voulais moi, c’était explorer, découvrir des choses qui ne sont pas inscrites dans les bouquins préférés du touriste de base…Et comme je n’avais pas assez d’argent pour voyager en train. Le stop devint mon moyen de transport de prédilection. Certes on ne sait jamais sur qui on peut tomber, cela donne un petit côté insouciant à l’aventure. Je suis insouciante, vous ne le saviez pas ?
Dans un tel voyage, il y a toujours des bons et des mauvais jours. Faut pas se leurrer, le moral ne peut être toujours au beau fixe. L’homme qui dirigeait le motel ou j’avais séjourné à Los Angeles m’avait raconté des anecdotes au sujet de Venice Beach et ces surfeurs. Il fallait que j’aille là-bas pour retrouver un peu de chez moi et ma motivation. Je pris donc la route et alors que je marchais sous la chaleur depuis une bonne heure, un 4x4 vint s’arrêter à côté de moi. Ce n’est pas que je n’aime pas la marche mais un voyage en voiture, c’est toujours mieux ! J’accélérais le pas avec tout de même une certaine prudence espérant ne pas me retrouver face à un pervers. « Je peux vous déposer quelque part ? » Si c’était un pervers, il était plutôt pas mal. C’était un jeune homme qui devait avoir environ vingt-cinq ans, blond, un joli regard même s’il possédait de sacré muscles qui devaient cacher des trucs pas nets ! Il inclina la tête ce qui la fit sortir de sa rêverie, elle ne lui avait toujours pas répondu ! « Je vais à Venice Beach, si ça ne vous embête pas ! » Il lui répondit avec ce même sourire qui au passage n’avait rien d’un sourire pervers « montez, c’est là que je vais ! »Je pris donc place à ces côtés dans la voiture. Mon caractère de sociable m’avait un peu laissée tombée… J’étais fascinée par ce mec et j’avoue un peu impressionnée par son physique pourtant rien chez lui paraissait menaçant. C’est lui qui engagea la conversation en me demandant si j’étais du coin et pourquoi je me baladais toute seule sur un bord de route. Je ne sais pas vraiment ce qui m’a pris mais je me suis mise à tout lui raconter ! L’Australie, ma passion pour le surf, mes études de tourisme, mon obsession pour la Californie, mon année sabbatique, mon envie d’explorer le pays… Il m’écoutait parler en souriant. Je ne vis pas le temps passer et ne me rendit pas compte qu’on était arrivés. Aoutch, je me sentis soudainement trop stupide ! Et voilà, j’avais raconté ma vie à un étranger qui voulait simplement me rendre service. On sortit chacun de notre côté de la voiture. Et alors qu’il se rendit à l’arrière de la voiture pour prendre ces affaires, je lui jetai un petit regard gêné « Vous devez me prendre pour une folle… » A cette réflexion, il pouffa de rire sortit ces affaires du coffre et mit un certain temps à me répondre, ce qui n’était pas forcement rassurant. Alors que je commençais à penser qu’il était temps pour moi de filer, il répondit « Oh je t’en prie tutoie-moi ! » ce qui ne répondait pas vraiment à mes questions mais qui n’était pas totalement négatif. Il dut le remarquer car il s’empressa d’ajouter « Tu comptes faire quoi à Venice Beach mademoiselle l’exploratrice ? » Il ne me pensait pas assez folle pour vouloir à tout prix s’éloigner de moi, encore plus positif ! Je lui répondis en souriant que j’irais ou le vent me porterait ! C’est alors que contre toute attente, il me proposa de me joindre à lui et sa bande d’ami pour la soirée. Je pris le chemin de la plage avec lui et sa planche de surf. Ce n’est pas possible de vous raconter l’ensemble de la soirée en détail mais ce fut une des plus belles de ma vie et elle changea littéralement mon voyage. Ces personnes étaient formidables et m’avaient accueillie à bras ouverts ! Entre surf, fou rire sur la plage, musique, barbecue, … je retrouvais cette ambiance que j’aimais tant à l’autre bout de la planète ! On s’est endormis au lever du soleil sur la plage. Cette nuit-là, je me sentis apaisée, comme chez moi. Et ce fut d’autant plus douloureux le lendemain matin d’imaginer que je devais reprendre ma route et les laisser derrière moi. C’est alors que Nathaniel dit Nate me proposa de passer chez lui déjeuner, prendre une douche et continuer notre conversation ! Proposition que j’acceptais avec plaisir. Et d’ailleurs pour tout vous dire, je ne l’ai plus quitté…tout le temps que j’étais en Californie. Notre discussion s’est terminée par un baiser. On ne se prenait pas la tête, jamais on s’est posé de question sur le fait que j’habitais à l’autre bout de la planète, sur le fait d’habiter ensembles, d’envisager l’avenir. On vivait simplement au jour le jour ! Je trouvais un petit job de serveuse dans joli bar donnant sur l’océan, lui donnait des cours de surf à des enfants. Et cela dura 8 mois. On s’était créé une sorte d’équilibre. Mais toutes les belles choses ont une fin…Mes économies diminuaient et je devais rentrer au bout d’un an tel était le contrat. Beaucoup de choses m’attendaient en Australie…Je refusais d’y penser mais deux semaines du départ, je fus bien obligée d’y penser et de l’annoncer à Nate. Ce jour-là, il faisait un temps splendide ! Nous étions tous deux de superbe humeur et très amoureux, je m’étais alors dis que rien ne pourrait briser ce qu’il y avait entre nous. Je profitai donc de cet instant pour lui annoncer mon départ. Tout d’abord, il réagit calmement en me disant qu’on avait besoin de personne, que notre vie ici était parfaite, que je pourrais exercer mon métier en Californie, qu’il finirait par trouver un meilleur travail, … Puis il m’embrassa et me sourit. Je suis lâche, je sais mais je n’avais aucune envie de le contredire et de ruiner notre journée. Il ne voulait pas comprendre ce que je tentais de lui expliquer. Il pensait surement que je finirais par accepter son idée. Cette idée était bien sur tout ce que je voulais au monde mais on ne fait pas toujours ce qu’on veut. Je devais rentrer en Australie. Une semaine plus tard, je réitérai l’expérience. « Nate, il faut qu’on parle…tu sais à propos de l’Australie, je n’ai pas le choix. Je dois rentrer tel est le contrat que j’ai fait auprès de mon école, de mes parents, j’ai pleins d’obligations là-bas… » Il la coupa dans sa phrase « Oh mais tu me soule à la fin ! On est bien tous les deux et tu gâches tout ! Tu peux très bien rester, on a toujours le choix ! Notre vie n’est pas assez bien pour toi ? » Ces paroles étaient blessantes mais il cachait le fait que la situation le blessait pas de la colère « On n’a pas toujours le choix Nate ! Toi tu vis sur ton nuage entouré de tes belles illusion mais ce n’est pas sa la vie, la réalité te rattrapera un jour ! Mais saches que si j’avais le choix, c’est avec toi que je resterais…C’est ce que je désir le plus au monde ! » Cette phrase le fit sortir hors de lui « Mais qu’est-ce que tu connais de la vie toi ? Tu es une fille unique venant d’une banlieue aisée de Sydney, t’a tout à apprendre de la vie ! » Cette discussion était de plus en plus tendue, ils dissimulaient tous les deux leur tristesse avec des mots qu’ils ne pensaient pas et regretteraient certainement plus tard. « Viens avec moi ! Oh oui, Nate vient ! Je te ferais découvrir l’Australie ! Nous avons des plages magnifiques ! On serait toujours ensembles…Ca en vaut le coup, non ? On en vaut le coup, non ? » Fis-je avec une lueur d’espoir dans les yeux. Je lui attrapai sa main en guettant sa réaction. Ce que je voyais me faisait mal, il exprimait tellement de tristesse et de colère sur son visage. Je pensais réellement à ce qui je disais mais soudain, il enleva sa main de la mienne, attrapa sa veste et lança un « Pars ! Je m’en fou ! » Sur ces mots, il quitta la maison en claquant la porte me laissant là seule avec ma tristesse. S’en suivit plusieurs heures sans que je ne puisse arrêter mes larmes, je quittais sa maison avec ce même sac et reprit la direction de Los Angeles en bus cette fois-ci. Je retournais dans le fameux motel que j’avais connu à l’aller mais je n’avais plus du tout l’envie de me balader. La veille de mon départ, je retrouvais dans un café une amie de la bande de Nate. On discuta pendant plusieurs heures, elle me raconta le comportement du blond. D’après ces dires, il n’avait jamais été autant bouleversé…Mais la dernière phrase qu’il m’avait adressée passait et repassait en boucle dans mon esprit. Le lendemain toujours autant blessée, je pris le chemin de l’aéroport. Alors que je faisais la queue pour enregistrer mes bagages, j’entendis quelqu’un crier mon nom. Mon sang ne fit qu’un tour…Et si ? Et oui ! Nate était la a quelques courant droit sur moi « Nevaeh excuse-moi, je suis qu’un con ! J’ai toujours vécu ici, je pensais que toute ma vie était ici mais après ces mois avec toi, je me suis rendu compte que sans toi ma vie craint… » Il baissa alors la tête. Beaucoup de sentiments se mélangeaient. Je lui en voulais d’avoir réagi comme ça de m’avoir fait souffrir, d’avoir foutue en l’air notre dernière semaine ensemble mais en même temps, j’avais envie de me laisser souffler et de sauter dans ces bras. Je pris simplement sa main en lui souriant, il posa son front sur le mien et murmura « on tiendra la distance, tu verras ». Cette phrase me fit comme une décharge, la dernière fois que je l’avais entendue c’était avec de mes amis de lycée que j’avais perdu de vue depuis mais je voulais vraiment y croire cette fois ci. On se dit au revoir et je pris place dans l’avion. En quittant la Californie, je quittais désormais des amis, un endroit où je me sentais chez moi mais également l’amour. Je laissais couler mes larmes et repensais à cette sensation éprouvée lors de mon arrivée en Californie, j’étais alors certaine que ce voyage changerait ma vie et il l’avait fait.
Aujourd’hui, je vis à nouveau à Sydney et je fais le métier que je voulais. En fait, j’ai la vie que j’ai toujours voulu mais il me manque quelque chose…Vous voulez savoir ce qu’est devenu Nate ? On continue à garder le contact au travers d’appels et d’e-mails mais nous sommes de plus en plus distants l’un envers l’autre…Je pense même qu’il ait rencontré quelqu’un. Après tout pourquoi s’accrocher à une fille qui habite à l’autre bout de la planète quand notre ville est remplie de bimbo’…
Oh, je vais devoir vous laisser ma bande de touriste vient de finir son exploration et j’ai encore beaucoup de choses à leur faire découvrir ! A suivre…
- Spoiler:
PSEUDO/PRÉNOM › Smartiz. ÂGE › 18 ans. PAYS › France. OU AS TU CONNU LE FORUM › Bazzart. EST-CE QU'IL TE PLAIT › Et comment ! AUTRE › 
Dernière édition par Nevaeh-Fay Rutherford le Sam 21 Avr - 22:36, édité 20 fois |
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