Francesca G. Eastwood
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 |  Sujet: FRANCESCA ▲ colour my life with the chaos of trouble Dim 22 Avr - 18:48 | |
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Le temps file, le temps n’attend personne. Le temps guérit toutes les blessures. Tous autant que nous sommes nous voulons plus de temps. Du temps pour se relever, du temps pour grandir, du temps pour lâcher prise. Du temps. NOM › Eastwood. PRÉNOM(S) › Francesca, Gia. SURNOMS › Frankie. ÂGE › vingt-quatre ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE › 15 février 1988, Florence (Italie). ORIGINES › australiennes par son père et italiennes par sa mère. MÉTIER/ETUDES › écrivain mais aussi traductrice en attendant qu'un éditeur décide de publier un de ses romans. SITUATION FINANCIÈRE › plutôt bonne. STATUT CIVIL › célbataire. GROUPE › the workers. AVATAR › Phoebe Tonkin. I want you to remember me extravertie, bordélique, indépendante, susceptible, ambitieuse, curieuse, déterminée, exigeante, optimiste, possessive, déjantée, impatiente.accro au café, il lui arrive de passer des nuits blanches à travailler rien qu'en carburant à la caféine ✜ déteste tous les bonbons à part les marshmallows ✜ sa radio lui sert de réveil le matin parce qu'elle déteste le bip strident du réveil et qu'elle est persuadée que la musique est le meilleur moyen de se réveiller de bonne humeur ✜ se mord la lèvre très souvent et même sans s'en rendre compte la plupart du temps ✜ cuisine très mal sauf les pâtes et les pizzas, en même temps, une italienne qui saurait pas faire cuire des pâtes... ✜ que ce soit chez elle, dans sa voiture ou quand elle marche dans la rue, elle ne peut pas se passer de musique et son lecteur mp3 la suit partout dans son sac ✜ n'aime pas tellement le sport à part la danse qu'elle pratique depuis qu'elle a cinq ans ✜ adore acheter des chaussures, elle doit d'ailleurs en avoir au moins une cinquantaine de paires dans son armoire ✜ fan de séries télés et cinéphile, elle pourrait passer sa vie à regarder des épisodes de séries et à aller voir des films au cinéma ✜ possède deux chats qu'elle adore, un chat noir prénommé Sinatra et un chat roux et blanc qu'elle a appelé Caramello, ce qui signifie caramel en italien.Go on and try to tear me down D'aussi loin que je me souviennes, j'ai toujours voulu devenir écrivain. Je ne sais pas vraiment d'où cette passion pour l'écriture me viens. Peut-être que c'est parce que mes parents me lisaient beaucoup d'histoires pour m'endormir quand j'étais petite et que cela m'a donné envie d'écrire mes propres histoires... Peut-être que c'est parce que, depuis que je sais lire, je lis à peu près tout ce qui me tombe sous la main et que cette passion pour la lecture m'a aussi poussé vers l'écriture... Tout ce que je sais, c'est que tout ce qui touche à l'écriture m'a toujours attiré et passionné et que je ne pourrais pas imaginer ma vie sans l'écriture. Ça a toujours été une évidence pour moi. Je fais sûrement partie de ces gens qui ne peuvent pas imaginer leur vie sans la chose qui les passionne, qui vivent en essayant à tout prix de réaliser leurs rêves... ça peut paraître fou mais je suis persuadée qu'un jour, je finirais bien par trouver un éditeur qui prendra le temps de lire un de mes romans et qu'il décidera de me publier !
Mon histoire a commencé à l'été 1985, soit un peu plus de deux ans et demi avant ma naissance, à Florence, en Italie et plus précisément dans la région de la Toscane. Mon père, un australien originaire de Sydney, âgé alors de 23 ans et tout juste diplômé en management de l'université de Sydney avait décidé de passer l'été en Italie. Ça faisait longtemps qu'il voulait visiter ce pays qui le fascinait depuis déjà plusieurs années. C'est comme ça qu'il a atterri à Florence, la ville dans laquelle il a rencontré ma mère qui, elle, est italienne. D'ailleurs, cela explique la différence de consonance entre mes prénoms et mon nom de famille. Je porte le nom de mon père, Eastwood, qui a une consonance typiquement australienne ou, en tout cas, anglo-saxonne. Tandis que mes deux prénoms, Francesca et Gia, sont à 100% italiens vu que c'est ma mère qui les a choisi. Et vu que mon père adorait l'Italie et la langue italienne, il ne s'est pas vraiment opposé à ce choix de prénoms !
J'en reviens donc à la rencontre de mes parents. À vrai dire, elle n'a rien de très original puisqu'ils se sont rencontrés dans un bar où beaucoup de jeunes florentins avaient l'habitude de sortir. Ils se sont donné rendez-vous le jour suivant et ma mère a proposé à mon père de lui faire visiter Florence, la ville où elle était née et avait toujours vécu. Au fil des jours, ils sont tombés amoureux et mon père, qui n'avait prévu de rester dans la ville que quelques jours avant de reprendre son tour d'Italie, a finalement a décidé de prolonger son séjour. Il a même tellement prolongé ses vacances qu'il a trouvé un boulot à Florence, qu'il a pris un appartement avec ma mère et qu'un an après leur rencontre, ils se sont mariés. Je suis née un an et demi plus tard et ma petite sœur est venue rejoindre la famille trois ans après moi.
Je connais cette histoire, l'histoire de leur rencontre, par cœur parce que mon père me l'a raconté des dizaines de fois quand j'étais petite et, à l'époque, j'étais persuadée que cette histoire était comme l'un de ces contes de fées que les parents racontent à toutes les petites filles le soir pour les endormir. Mais maintenant que je connais la suite de cette histoire, je me rends compte que les histoires de princesses, de princes charmants et les « et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants... » sont définitivement des contes et que l'on ne croise pas ces histoires dans la vie réelle.
J'ai eu une enfance heureuse et tout ce qu'il y a de plus normal sous le soleil italien, entourée de mes parents et de ma petite sœur. J'étais plutôt hyperactive quand j'étais petite, peut-être à cause de mon côté italien, et mes parents m'ont très vite inscrit à de nombreuses activités pour que je puisse dépenser mon trop plein d'énergie. C'est comme ça que j'ai commencé la danse classique et la gymnastique à cinq ans, puis la natation à sept ans... Plus tard, à l'adolescence, j'ai aussi pris des cours de guitare et de solfège. Pendant une période, je me suis même mise à écrire des chansons mais vu que je chantes vraiment très faux, je n'ai jamais vraiment pensé faire carrière en tant que chanteuse. Cela dit, l'écriture d'une chanson n'est finalement pas si différente de l'écriture d'un roman, on raconte toujours une histoire, que ce soit en 250 pages dans un roman ou en trois minutes dans une chanson.
J'ai toujours été plutôt sociable et extravertie alors on peut dire que je n'ai jamais eu trop de mal à me faire des amis. À l'école, j'ai toujours été une bonne élève mais j'avais toujours du mal à tenir en place et puis je passais mon temps à bavarder avec mes copines alors on ne peut pas vraiment dire que mes maîtresses de l'école primaire m'aimaient beaucoup, j'étais plutôt la petite fille à qui on disait toujours de se taire et d'écouter le cours plutôt que de rire avec ses copines. Mais à l'école, j'ai aussi appris à lire et à écrire et c'est là que j'ai eu un déclic. J'ai compris très vite que je voulais écrire moi aussi comme tous ceux dont je lisais les histoires. À l'époque, je voulais écrire des contes de fées... ça a changé depuis et je n'ai jamais écrit d'histoires pour enfants mais l'important dans tout ça, c'est que je savais ce que je voulais faire de ma vie, j'avais un but à atteindre, un rêve à réaliser et j'avais décidé de tout faire pour réaliser ce rêve.
Mais ma jolie petite vie de famille parfaite a rapidement changé quand j'ai eu quatorze ans puisque c'est l'âge que j'avais quand ma mère a décidé de quitter mon père pour un de ses collèges de boulot avec qui elle le trompait déjà depuis un moment, d'après ce que j'ai compris plus tard. C'est à cette époque-là que ma vie a changé, d'abord, parce que mes parents ont divorcé mais ça encore, j'aurais pu m'y faire... après tout, j'étais pas la première à avoir des parents divorcés. Le vrai changement, ça a été quand mon père a décidé de rentrer en Australie, dans sa ville natale de Sydney, en nous emmenant avec lui ma sœur et moi ! Au début, je n'ai pas vraiment compris pourquoi il avait décidé de partir comme ça, du jour au lendemain, et il avait beau me dire que c'était parce que l'Italie lui rappelait trop de mauvais souvenirs, j'étais trop en colère contre lui pour essayer de le comprendre.
Je lui en ai voulu pendant longtemps d'avoir choisi de tout quitter pour rentrer dans un pays où je n'avais mis les pieds qu'une fois quand j'avais huit ans... il me séparait de mes amis, d'une partie de ma famille, de toute la vie que je m'étais construite pour qu'on aille s'enterrer au pays des kangourous et des koalas. Et ma mère dans tout ça ? Elle n'a jamais rien dit de cette décision de mon père et elle a refait sa vie avec un autre homme, elle s'est même reconstruit une nouvelle famille avec cet homme et j'ai toujours eu l'impression qu'elle nous avait tout simplement oublié... je l'ai revu quelques fois quand je suis retournée en Italie il y a quelques années mais je lui en ai toujours beaucoup voulu de nous avoir abandonné et d'être partie du jour au lendemain alors, même si elle continue à prendre des nouvelles en m'appelant de temps en temps, je n'ai jamais retrouvé la relation qu'on avait quand j'étais petite !
C'est en arrivant en Australie que je me suis plongée dans l'écriture encore plus qu'avant, comme je vivais assez mal le fait d'avoir dû déménager et tout quitter, je me réfugiais dans la seule chose qui m'étais familière dans ce pays où je ne connaissais personne ou presque. Je me suis refermée sur moi-même à cette époque-là et ce n'est que deux ans après être arrivée à Sydney, en entrant au lycée, que j'ai enfin réussi à changer d'avis sur la vie en Australie. Je me suis décidée à sortir de la bulle que je m'étais construite et j'ai rencontré des gens qui ont rapidement formé mon nouveau groupe d'amis ! Pour autant, je n'ai jamais perdu le contact avec mes meilleurs amis italiens, avec qui je discute encore aujourd'hui, que ce soit par textos, par mail ou grâce à Skype !
À cette époque-là, je me suis rendu compte que la vie à Sydney pouvait être sympa entre les fêtes, les premières histoires d'amour, la première cuite, les week-ends où on partait en virée en 4x4 dans le bush australien, les samedis après-midi à la plage... Tout ça, c'était assez loin de ce que j'avais pu connaître en Italie vu que la plage, par rapport à Florence, c'est pas vraiment la porte à côté !
La remise des diplômes et la fin du lycée sont arrivées beaucoup plus vite que prévu et j'ai intégré l'Université de Sydney. J'étais toujours aussi déterminée à devenir écrivain, certains pourraient dire que je suis têtue mais, personnellement, je dirais surtout que je suis persévérante et que je mets toutes les chances de mon côté pour obtenir ce que je veux vraiment. C'est pourquoi, j'ai commencé des études de littérature dont je suis sortie diplômée en juin dernier. En parallèle de mes études et pour gagner un peu d'argent, j'ai donné des cours de danse dans une petite école de quartier pendant cinq ans et j'ai aussi donné des cours de soutien à domicile en langues et en littérature. Grâce à ma double nationalité italienne et australienne et aux années que j'ai passé en Italie, j'ai pu donner des cours de soutien aussi bien en anglais qu'en italien et même un peu en français et en espagnol, deux langues que je maîtrise plutôt bien.
Même pendant mes études à la fac', j'ai continué à écrire et j'ai même réussi à terminer un roman. Dès ma sortie de l'université, j'ai commencé à envoyer des lettres à des éditeurs, en leur demandant de me rencontrer ou carrément en leur envoyant les premiers chapitres de mon roman. Je n'ai reçu aucune réponse pendant longtemps ou alors uniquement des réponses négatives, me disant que j'étais soit trop jeune, soit trop inexpérimentées, soit qu'ils n'avaient tout simplement pas le temps de lire le début de mon roman tout de suite vu tous les textes qu'ils recevaient et que mon travail serait lu quand ils auraient plus de temps. Autrement dit, ils allaient mettre mon roman sur une pile avec tous les autres romans qu'ils recevaient et peut-être qu'un jour ils se souviendraient de moi et décideraient de me recontacter...
Alors, en attendant d'enfin être publiée, j'ai dû trouver du boulot pour payer mon loyer, mes factures et j'ai réussi à me faire engager comme traductrice de livres français, espagnols et italiens en anglais mais aussi de livres en anglais vers l'italien, le français et l'espagnol pour une maison d'édition de Sydney qui exporte pas mal de livres vers l'étranger. Évidemment, ça n'est pas toujours passionnant vu que, parfois, il s'agit de traduire des notices d'utilisation d'aspirateurs, des notices de montage de meubles en kit ou des livres de cours de langues pour les collèges ou les lycées mais c me permet au moins d'avoir un salaire tous les mois, de travailler à peu près à mon rythme depuis mon appartement et ça me laisse pas mal de temps à côté pour écrire mon deuxième roman que j'ai commencé récemment. Tout ce que je peux dire pour l'instant, c'est que c'est une enquête policière et que des meurtres sont commis mais je n'en dirais pas plus pour ne pas dévoiler l'histoire. Il sera peut-être publié un jour alors autant ne pas raconter toute l'histoire avant même d'avoir fini de l'écrire !- Spoiler:
PSEUDO/PRÉNOM › bisounours/Julie. ÂGE › vingt ans. PAYS › France. OU AS TU CONNU LE FORUM › Par une amie qui est sur le forum et qui m'a envoyé le lien en me disant « ramène tes fesses par ici ! » lol EST-CE QU'IL TE PLAIT › Beaucoup, et puis je dois dire que je suis tombée amoureuse du design en arrivant sur le forum ! De toute façon, s'il me plaisait pas, je serais pas là en train de faire ma fiche, non ?  AUTRE › Nop', rien à ajouter !
Dernière édition par Francesca G. Eastwood le Lun 23 Avr - 12:40, édité 5 fois |
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Francesca G. Eastwood
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| | Sujet: Re: FRANCESCA ▲ colour my life with the chaos of trouble Dim 22 Avr - 20:43 | |
| Merci beaucoup tout le monde, un accueil comme ça, ça fait plaisir   Mon Bisounours :  j'ai surtout envie de dire, merci à toi de m'avoir fait connaître ce forum  Narcisse : AMANDA   et j'suis tout à fait d'accord pour un harcèlement sur fiche de liens ! |
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cette fille est magnifique aussi !
